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• Analyse académique et Think Tank / Gouvernance,

  Prévenir l’extrémisme violent en Gambie : Remédier aux vulnérabilités et renforcer la résilience 02/12/2025

  Résumé :

  Ce policy brief analyse les vulnérabilités de la Gambie face à l’extrémisme violent, malgré sa stabilité démocratique et son classement parmi les pays...

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  Pays : Burkina Faso , Gambia , Mauritania , Niger , Senegal , Guinée-Bissau

  Organisations : WATHI
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Analyse académique et Think Tank / Gouvernance,
Prévenir l’extrémisme violent en Gambie : Remédier aux vulnérabilités et renforcer la résilience 02/12/2025
Résumé :
Ce policy brief analyse les vulnérabilités de la Gambie face à l’extrémisme violent, malgré sa stabilité démocratique et son classement parmi les pays les plus sûrs d’Afrique. L’auteur montre que les facteurs régionaux — notamment la crise sécuritaire au Sahel, l’instabilité au Mali, la porosité des frontières et l’effritement des institutions — exposent la Gambie à des risques croissants. Les principaux éléments internes de vulnérabilité incluent la radicalisation religieuse dans certaines madrasas, l’influence de prédicateurs réformistes, l’intolérance religieuse croissante entre sectes, ainsi qu’un chômage élevé touchant particulièrement les jeunes. Le rapport souligne l’importance d’une approche multisectorielle : réformes sécuritaires, cadres juridiques renforcés, supervision de l’enseignement religieux, programmes de prévention, médiation communautaire, dialogue avec les leaders traditionnels et religieux. Il met aussi en avant les efforts du gouvernement, de la CEDEAO, de la société civile et des organisations de jeunesse pour renforcer la résilience, tout en pointant les limites : manque de coordination, projets fragmentés et faible présence étatique dans les zones rurales.
Mots-clés :
Gouvernance, Sécurité, Jeunesse, Extrémisme, Vulnérabilité, Violence, Radicalisation
Organisations :
WATHI
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• Article de revue / Sécurité et droits humains,

  Comprendre les liens entre la rareté de l’eau et les conflits violents au Sahel et dans le bassin du lac Tchad 27/10/2025

  Résumé :

  Cet article propose une analyse à l’échelle infranationale des liens entre la rareté de l’eau et les conflits violents dans la zone centrale du Sahel ...

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  Pays : Burkina Faso , Cameroon , Chad , Mali , Niger , Nigeria

  Organisations : Earth’s Future (AGU / Wiley)
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Article de revue / Sécurité et droits humains,
Comprendre les liens entre la rareté de l’eau et les conflits violents au Sahel et dans le bassin du lac Tchad 27/10/2025
Résumé :
Cet article propose une analyse à l’échelle infranationale des liens entre la rareté de l’eau et les conflits violents dans la zone centrale du Sahel et du Bassin du lac Tchad (2000-2021). Les auteurs appliquent le concept de « empreinte eau » et l’indice de Falkenmark index pour définir cinq métriques mensuelles de rareté de l’eau (écoulement, humidité du sol, évapotranspiration potentielle, consommation d’eau, démographie). Les résultats montrent des niveaux élevés de rareté de l’eau — notamment déficit d’humidité du sol (« green water scarcity ») et faibles scores de l’indice de Falkenmark — pendant les saisons sèche, pré-monsoon et post-monsoon dans toutes les localisations de conflits recensés. Cela suggère un lien indirect entre déficit d’eau verte, stress hydrique lié à la population et conflits. Les auteurs estiment que leurs résultats peuvent guider la gestion de l’eau et la prévention des conflits dans la région et ailleurs.
Mots-clés :
Gouvernance, Sécurité, Conflit, Eau
Organisations :
Earth’s Future (AGU / Wiley)
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• Analyse académique et Think Tank / Sécurité et droits humains,

  Un coup d’État folklorique en Guinée Bissau et la pagaille qui continue en Afrique de l’Ouest 08/12/2025

  Résumé :

  L’article « Un coup d’État folklorique en Guinée Bissau et la pagaille qui continue en Afrique de l’Ouest » décrit un coup d’État intervenu en Guinée-...

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  Pays : Guinée-Bissau

  Organisations : WATHI
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Analyse académique et Think Tank / Sécurité et droits humains,
Un coup d’État folklorique en Guinée Bissau et la pagaille qui continue en Afrique de l’Ouest 08/12/2025
Résumé :
L’article « Un coup d’État folklorique en Guinée Bissau et la pagaille qui continue en Afrique de l’Ouest » décrit un coup d’État intervenu en Guinée-Bissau peu après l’élection présidentielle du 23 novembre 2025 — scrutin jugé calme mais porteur d’espoir pour les 2,2 millions d’habitants du pays. Malgré le vote, l’annonce des résultats a été retardée, puis un groupe d’officiers, proches de l’ancien président Umaro Sissoco Embaló, a pris le contrôle, formant une junte militaire nommée “Haut-Commandement militaire”. Le général Denis Ncanha a annoncé la prise de pouvoir, et le général Horta N’Tam a été investi à la tête d’une transition d’un an. L’article questionne la nature réelle du coup — certains parlent de « coup d’État folklorique », voire orchestré par Embaló lui-même pour bloquer la victoire d’un autre candidat soutenu par le parti historique PAIGC. L’auteur alerte sur le retour de l’instabilité politique, comme dans d’autres États ouest-africains, et sur les risques d’une « pagaille » généralisée si ce type de manœuvres devient courant.
Mots-clés :
Politique, Gouvernance, Sécurité, Coup d'État
Organisations :
WATHI
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• Article de revue / Gouvernance,

  Frères d’armes ? Vigilantisme et réponses étatiques ambivalentes en Afrique de l’Ouest 28/10/2025

  Résumé :

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  Pays : Burkina Faso , Ghana , Liberia

  Organisations : African Security (Taylor & Francis)
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Article de revue / Gouvernance,
Frères d’armes ? Vigilantisme et réponses étatiques ambivalentes en Afrique de l’Ouest 28/10/2025
Résumé :
L’article propose une lecture centrée sur l’État des relations avec les groupes de vigilance en Afrique de l’Ouest et montre l’ambivalence des réponses publiques. À partir de trois études de cas — Liberia, Ghana, Burkina Faso — les auteur·e·s analysent comment l’État « compose » avec des acteurs non étatiques dans des configurations de gouvernance sécuritaire hybride. Au Liberia, des formes de tolérance et de co-opération locales coexistent avec la crainte d’un usage partisan de milices proches du pouvoir. Au Ghana, malgré la loi de 2019 (Act 999) interdisant le vigilantisme, les groupes sont rebrandés, cooptés ou intégrés officieusement aux dispositifs partisans et étatiques. Au Burkina Faso, l’État a institutionnalisé les VDP, renforçant la réponse anti-insurrectionnelle mais au prix de risques accrus pour les civils et la cohésion sociale. La thèse centrale est que les calculs de survie de régime autant que la capacité sécuritaire structurent les attitudes étatiques envers le vigilantisme, brouillant les frontières formel/informel.
Mots-clés :
Gouvernance, Sécurité, Cohésion sociale, Institution
Organisations :
African Security (Taylor & Francis)
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